Jean-Philippe Bernard

Jean-Philippe Bernard

Vie à l’X

Je crois me souvenir d’avoir partagé (de temps en temps) le casert de Christophe Lavorel, Didier Miqueu et Bernard Yvetot, qu’on ne m’en tienne pas rigueur si je me trompe. Il est vrai que j’ai plus de souvenirs de la vie périscolaire (classes de philosophie chez Marie, grand amphi au billard de la Contrescarpe, ou retraites méditatives et néanmoins balnéaires) que scolaire. Je garde malgré tout en mémoire le tandem improbable Attali / de Montbrial en économie, quelques figures tutélaires de brillants professeurs, et bien sûr nos vaillantes campagnes (sportives quand bien même militaires), qui ont contribué à forger de solides amitiés tout en exaspérant notre encadrement (qu’ils nous pardonnent !).

Sport : rugby et athlétisme.

Vie Perso

Mon épouse Sylvie m’ayant supporté déjà plus de 30 ans, nous cheminons ensemble sur un sentier semé de joies et de peines. Nous sommes entourés de deux fils, et de la mémoire de leur frère disparu. Avant le retour à Paris, il y a eu Tokyo, Nantes, Berne, et Copenhague, autant d’escales qui nous ont beaucoup appris, beaucoup donné, beaucoup marqués. La prochaine destination reste à choisir, pour y établir notre camp du troisième âge.

 Vie Pro

Ayant eu la chance de me promener dans des environnements très divers pour un très beau Groupe (Air Liquide), et d’y exercer parfois des responsabilités opérationnelles passionnantes avec une belle autonomie (grosso modo partout sauf en France), je n’ai pour autant pas su ou pas voulu apprendre à marcher au pas. Il était donc dans l’ordre des choses que la patrouille me rattrapât, pour quelque position bien assise (Siège oblige) à Paris ces dernières années. Je suis depuis peu chargé (sur place) d’aller de l’avant en matière de retraites, celles du Groupe en attendant de m’occuper de la mienne et de me consacrer au chapitre « Perso », hobbies et préparation au métier éventuel de grand-père à la clé.

Conseil aux jeunes

Je ne suis pas sûr que notre génération soit fondée à donner beaucoup de conseils aux jeunes, si ce n’est de lire des anciens choisis, quelques modernes suffisamment lucides … et de n’écouter que leur propre conscience pour inventer leur avenir et celui de leurs enfants.

 

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